Distributeur exclusif des motos et scooters électriques Super Soco, Mathieu Legras ride en expert sur la déferlante électrique. Dans sa concession Kaneda de Dijon, tous les publics se retrouvent autour de deux-roues révolutionnaires.
Le bac en poche, Mathieu Legras enchaîna les expériences par esprit d’aventure. « J’ai vendu du vin à la Réunion, géré un hôtel, mené des études d’implantation de franchisés en Espagne. » Conducteur de travaux en entreprise générale du BTP, Mathieu dirige depuis 2009 l’entreprise de rénovation et d’aménagement Olanda, et désormais Kaneda. Une évidence professionnelle pour ce sportif, motard et père d’enfants hypersensibles à la nature. Circuler en bus ou en tramway, «c’est se retrouver prisonnier d’horaires imposés, d’un tracé et d’un temps de marche. La trottinette, c’est dangereux. Kaneda cherche, sans te priver, une réponse à ta mobilité qui préserve ton environnement ».
Société historiquement australienne, Super Soco bénéficie de l’injection de capitaux chinois. Assemblés sur des chaînes Honda, scooters et motos sont en grande partie équipés de moteurs Bosch. Côté puissance, l’accélération est instantanée. Les chiffres-clés : 100 kilomètres-heure pour 60 kilomètres d’autonomie, 120 avec deux batteries. « Les habitants de l’agglomération dijonnaise parcourant quotidiennement 13 kilomètres en moyenne, tu fais ta semaine. » Okay, mais les prix ? De 2 700 euros pour un équivalent 50 centimètres-cubes à 5 200 pour un équivalent 125 équipé de deux batteries. Sans compter le bonus écologique de 100 à 810 euros. « L’autonomie en scooter thermique n’est pas délirante. Il faut sortir en agglomération pour trouver des stations essence et ça ne va pas s’arranger. » Le plein d’un Super Soco équivalent 50 centimètres cubes est à 20 centimes. Et à 30 centimes pour un équivalent 125. Distributeur exclusif des motos et scooters électriques Super Soco, Mathieu Legras ride en expert sur la déferlante électrique. Dans sa concession Kaneda de Dijon, tous les publics se retrouvent autour de deux-roues révolutionnaires. « Et si tu gères ta conduite en ajustant le rapport couple-autonomie, ça ne te coûte rien. » . Et l’assurance est à moitié prix. Légers et maniables, les Super Soco séduisent autant les hommes que les femmes. « Une moto classique pèse 150 kilos quand la TC Max est à 115. Elle se pilote comme un vélo. » Et se gare l’esprit serein car, sans la batterie, impossible de démarrer.
Rouler sans risque
Côté sobriété énergétique et conscience environnementale, « avec une électricité 100 % française, tu casses la chaîne d’extraction d’énergie fossile en te branchant sur le 220 via un chargeur d’à peine trois kilos ». Sacré plus : les batteries sont amovibles, ce qui permet de recharger sa Super Soco au bureau ou chez soi, y compris quand on habite en immeuble. Il est également possible de charger la batterie en la laissant dans le véhicule, grâce à une prise dédiée sur la moto. Aucun rejet de monoxyde de carbone, pas de vibrations, on découvre le plaisir de rouler sans pollution olfactive ni sonore et sans mettre en danger les piétons. « Le son ne devance jamais une moto. Si tu respectes le code, le non-bruit ne provoque pas d’accident.» Les entreprises ont tout compris. Elles se rapprochent de Kaneda pour équiper leur flotte commerciale de deux-roues floqués et afficher au passage leur engagement environnemental tout en améliorant leurs performances transport. Super Soco, c’est super cool.
10, rue Marcel-Sembat à Dijon
kaneda-dijon.fr